dimanche 11 décembre 2011
Reprise ! Cross de Verrières le Buisson
Coté course après avoir récupéré mon dossard je jette un coup d'oeil du coté de la course Junior/Vétéran, je salut mon ami Romuald qui est en train dans chier, dans quelques minutes ce sera mon tour.
Maintenant les Séniors environ 80, je me glisse dans le milieu du paquet, le peloton reste assez compacte encore à l'entame du 2 ème tour, j'essaye de garder ce rythme, mais pas facile. A la mi course les sensations commencent à être meilleures, peut-être vais-je moins vite ? mais je sens mieux ma gestuelle, j'affine mes trajectoires, mes SNova Riot m'obliges à prendre un peu plus large dans certains virages glissant mais de cette manière je garde de la vitesse donc la relance est moins dur. Je m'en sors bien et ne perd pas de temps face aux pointes. Ça va vite, très vite, j'ai laissé le cardio dans la voiture, j'ai bien fais, il ne sert à rien je n'ai pas le temps de regarder la montre. Le dernier tour, je me sens encore des forces alors je prends les choses en main, je fais le forcing pour rester en tête de notre petit groupe d'environ 8 coureurs puis dans la dernière bosse je me laisse déborder volontairement par 2 coureurs pour me laisser un mini temps de répit avant d'aborder à fond les gamelles les 500 derniers mètres. C'est sans compter la fougue de mes compagnons dont trois d'entre eux me laissent sur place à l'entame de la dernière ligne droite, mais sa patine un peu, et ma cuisse me chatouille, j'assure donc cette 45 ou 46 ème place. Ce qui n'est pas si mal quand je vois mon chrono 33:27 pour 8,720 km le 1er Michael Simon est en 28:00 tout rond, le parcours n'est vraiment pas évident.
Les résultats des courses :
http://cd91athle.free.fr/ACD91-2009-P/R111211-CROSS.pdf
mercredi 7 septembre 2011
A bout de souffle...
Par contre mon corps semble toujours fatigué, chaque sortie appuyée fait suite à des douleurs lombaire du coté gauche et ce depuis le mois de juin, il faut patienter 1 ou 2 jours pour que cela passe.
Du coup le programme de cette fin de saison se retrouve fortement chamboulé, alors que début août je pensais encore m'aligner sur l'Impérial Trail (35 km) et le Trail du Lison plus tôt que les Hospitalliers en raison de l'éloignement géographique de cette dernière mais aussi en raison de la distance proposée. En effet, les 45 km du Lison me suffisent amplement vue ma déconvenue à Annecy. J'ai besoin de refaire mes gammes et trop de douleurs m'ont accompagnées durant ce trail et encore aujourd'hui. D'ailleurs avec encore plus de recul je commence à mieux comprendre les raisons de cet échec. Du coup je me dis qu'il sera peut-être possible de retenter l'aventure sur ce type de format (80 km avec 4500 à 5000 de D+), mais se sera pour plus tard avant il faut refaire ses gammes et reprendre tout doucement et progressivement. Cela va bientôt faire 2 ans que ma pratique est chaotique, blessure, reprise, blessure... . Et plus que tout ou la compétition, ce que j'aime c'est faire du sport, les blessures m'éloignent du sport et cela m'ennuie. En regardant un peu en arrière, je m'aperçois que cela faisait 4 années consécutives que je préparais une course en automne (Sparnatrail 2007, Templiers 2008 et 2010 et marathon de New york 2009), cette année il n'en sera rien et cela me fait un peu drôle car j'adore cette période de septembre à fin octobre avec ses changements de couleurs et d'odeurs.
Un peu de regret, mais il me reste encore de nombreuses années donc patience.
Photo : hermitage St Etienne à Saint Nazaire de Ladarez - Hérault.
mardi 16 août 2011
Trail du Caroux - 28 km - 2100 m D+
mercredi 29 juin 2011
Trail du Caroux
samedi 18 juin 2011
Maxi Race du Lac d'Annecy - retour sur ma course
Je ne vais pas faire un compte rendu complet comme vous avez déjà pu le découvrir sur ce blog mais je vais lister les erreurs que j'ai pu commettre. Ce genre d'erreur que j'ai tendance à répéter au moins une fois par an, là, cela c'est produit sur la course majeur de ma saison, dommage.
Bon alors ces erreurs ?
1. ère, un départ un tout petit peu rapide, bien que je n'en sois pas sûr après lecture de la courbe FC sur l'ordi.
2. ème erreur, un peu malgré moi suite aux newslaters de l'organisateur, celui-ci nous dresse un résumé du parcours par section en détaillant les différentes caractéristiques de chaque section. Et bien là, je dois dire que j'avais retenu que la 1ère partie était plus tôt facile et roulante avec la montée du Semnoz. En réalité il s'agit pas de la partie la plus dur mais cette section n'est pas si roulante que ça, surtout quand on n’est pas montagnard, alors si vous êtes comme moi, peu habituer à "Trailer" en Montagne soyer prudent.
3. ème erreur, je ne me suis pas assez approprié le parcours, même si la veille, le samedi après-midi, j'avais remarqué que les courbes de niveau du profil étaient particulièrement relevées au tour de la Forclaz. Ce sera la partie la plus dure pour moi, la partie qui aura fini par m'achever. Je prends aussi conscience que mon arrivée à Bluffy coïncidera presque avec le départ du Marathon Race, et j'ai peur d'être gêné, quelle erreur de penser cela. Cela aura une grosse incidence le jour "j".
4. ème erreur, la principale, je ne me suis pas assez concentré sur mes temps de passage, j'arrive au 1er ravito avec 5 à 10 min d'avance, je retrouve également Danielo que j'avais perdu devant le camping du Belvédère à Annecy le Vieux. Et là plus tôt que de repartir doucement et gérer cette avance pour s'économiser, nous repartons assez fort, rattrapant Cathy Dubois et la dépassant. C'est alors avec 25 min d'avance sur le temps de passage prévu que nous arrivons à Doussard. Nous sommes accueillis et encouragés par tous les coureurs du Marathon Race, environ 400 et par nos collègues de club environ 20 membres, c'est pas rien et cela nous mets une certaines pression. Décoller du ravito avant le départ à 9:00, il est 8:51. Danielo part 3 à 4 min devant, j'ai décidé de prendre les bâtons et de changer de chaussures. Je parviens tout de même à partir juste devant le meute, quelle erreur ! Je me suis à peine ravitaillé, j'ai tout de même rempli la poche à eau. Je repars sur un rythme effréné et rapidement absorbé par tout le peloton du Marathon. Et dire que je pensais être gêné par l'arrière du peloton et bien je dois l'avouer, c'est moi qui les freine dans la montée, tous mes collègue de club, finissent par me doubler et m'encourage, ils ne pensaient pas pouvoir le faire un jour.
5. ème erreur, une mauvaise gestion des imprévus, je me focalise que sur les choses qui ne vont pas, je ne parviens pas à penser à des choses positives. Dés la descente du Semnoz mes cuisses me fond mal. Je ne pensais pas souffrir si tôt musculairement. S'ajoute à cela, la douleur à la malléole gauche qui me fait vraiment mal lors de la montée de la Forclaz, des douleurs lombaires. Enfin j'ai mal partout les genoux s'y mettent sérieusement dans la descente de la Forclaz, les cuisses n'en peuvent plus, les plantes des pieds sont meurtries, la galère.
Au delà de ça, je me suis malgré tout fait plaisir. L'environnement y est pour beaucoup. C'est d'ailleurs, ce qui m'a fait avancer encore plus loin dans la montée de la Forclaz car je m’étais arrêté, au croisement de la route, je voulais faire demi tour et rentrer à Doussard. Alors j'ai continué animé par la curiosité et la beauté du paysage, j'ai aussi retrouvé Daniélo, qui comme moi en avait plein les bottes. Je lui fais part de mon envie d'abandonner puis nous buvons un verre ensemble au chalet juste avant le sommet. Lui ça l'aura reboosté moi enterré. Plus loin je m'assoie au coté des biquettes et je leur fais la conversation. Ce n'était pourtant qu'un Perrier. Je m'en vais alors vers cette descente horrible en direction de Bluffy, c'est que cette descente n'a rien d'agréable, pentu et toute droite dans la caillasse, dommage. Voilà s'en est fini, j'arrête mon chrono, coupe le GPS environ 9:45 de course, arrivé au ravitaillement j'attends pourtant un bon quart d'heure avant de donner mon dossard, j’attends peut-être une résurrection, mais non rien du tout. Une décision pas si facile à prendre, il reste encore 14 km. J'arrête je ne veux pas me blesser, je n'en peux plus.
A découvrir sur le site du club, des photos de la course, des CR et des vidéos de la course : http://rumba-athle.fr/blog/index.php?post/2011/06/11/Compte-Rendu-Annecime-2011
lundi 30 mai 2011
vendredi 20 mai 2011
Annecime - Maxi Race
Vous pourrez alors découvrir une vidéo présentant ce week-end sportif avec notamment la présentation des 3 courses avec de joilies vues sur le Lac d'Annecy. Rendez-vous entre la 9 ème et la 13 ème minutes.
lundi 16 mai 2011
Maxi Race du Lac d'Annecy - tour du lac d'Annecy
jeudi 28 avril 2011
le Bugeat Corrèze Raidlight Trail 2011
La Corrèze mélange de chlorophylle et de granit dans ce Limousin qui me tient à cœur de par mes racines qui y sont quelque peu rattachées. En général à chaque fois que j’ai pu faire une compétition en Limousin je n’ai jamais été déçu. Raid Multisports , VTT voire même trial et oui avec les 4 jours de la Creuse, le Limousin sait organiser, ce Bugeat Trail est donc à l’image de toutes ces manifestations auxquelles j’ai pu participer dans cette jolie région. Il n’y a donc rien à redire ou sauf peut-être un léger manque de participants. Environ 150 classés sur l’ensemble des 3 courses proposées ce dimanche, 11 - 22 et 45 km.
A cinq semaines de l’Annecime, l’objectif de cette première moitié de saison, je me suis inscrit sur le 45 km avec ses 1700 m de D+ annoncés, j’y vais pour m’aguerrir et améliorer ma condition physique. Dans cette optique je décide de prendre le départ pour la 1ère fois sur un trail avec des bâtons que j’ai encore peu utilisés à l’entrainement, il s’agit de bâtons en alu avec dragonne escamotable de marque Française SVP. J’ai vraiment besoin de m’exercer, je n’en aurai pas souvent l’occasion d’ici le 29 mai, alors je préfère prendre le risque, ici, plutôt qu’à Annecy. Pour compléter mon équipement j’ai opté pour des guêtres pour ainsi éviter toute intrusion de cailloux ou autre petit branchage dans la chaussure, ces guêtres se montrent particulièrement efficaces vu le nombre de km en hors piste et l’épaisseur des tapis de feuilles dans ces forêts.
Sur la ligne de départ je remarque une chose, je suis bien chargé par rapport aux autres coureurs, c’est vrai je n’ai pas fais attention, je ne sais pas combien de ravito compte ce parcours. J’ai pris mon sac à dos en configuration Annecime, c’est à dire avec poche à eau de 1,5 l et l’équipement obligatoire, couverture de survie, imperméable barres énergétiques téléphone portable…, ne manque que les manchettes et le corsaire à la place du short. Je n’ai pas pesé le sac de peur de me briser le moral, je pense avoir 3 kg sur le dos peut-être plus, tout équipé je dois bien peser 83 à 84 kg. Promis je vais peser tout ce barda.
Nous sommes partis, avec une cinquantaine de coureurs nous effectuons le tour du stade Alain Mimoun qui est originaire de cette petite ville Corrézienne puis nous attaquons la 1ère descente avant de quitter Bugeat par une petite grimpette, le rythme vient de s’accélérer et s’accélère encore à chaque petit talus. A la faveur de ces petites difficultés, un groupe de tête commence à se former, d’abord 3 coureurs dont je fais parti avec Sylvain de l’Elan Ussel et Christophe du Tulle AC. Le rythme s’accélère encore et Christophe finit par partir seul. Derrière un nouveau regroupement s’opère avec un groupe de 4 coureurs, nous retrouvons le soutien de Frédéric de Bugeat et de Didier du Herbauges AC, pour ce dernier je ne suis pas sûr que ce soit lui. Le rythme est élevé voire très élevé et Thierry des Twix Creusois ne l’entend pas de cette façon, il en remet une couche et part à la poursuite de Christophe. Nous avons avalé les 5 premiers km à plus de 12 km/h de moyenne. Nous attaquons alors une nouvelle bosse à la sortie de la Bâtisse et tout semble vouloir s’éclaircir, mon groupe explose et je laisse filer pour quelque temps Sylvain mais j’ai aussi la surprise de me faire doubler par l’homme qui était en tête en la personne de Christophe certainement un peu distrait, il a loupé la bifurcation dans le pré avant la Bâtisse, je suis alors 4 ème puis 3ème quand Sylvain lâche prise lors d’un arrêt technique, je ne le reverrai qu’à l’arrivée.
Alors 3ème, j’essaye de rester au contact visuel avec les 2 loustics de tête, avez-vous suivi, qui sont-ils et bien Thierry le véloce et Christophe le distrait, j’attaque la descente du Roc des Jacques, 200 m de dénivelé négatif en hors piste tout droit dans la pente, (à ce moment me vient une petite pensée, je ne suis pas déçu de mettre aligné sur ce trail, parfait pour parfaire ma préparation). Plus tôt à l'aise dans les descentes je reviens sur les talons des hommes de tête, mais sa remonte dur après le Pont Piquemenu au-dessus du ruisseau Menouiex, nous attaquons l’ascension du Puy le Cluzard et je reperds un peu de temps, décidément je ne suis pas bien dans les bosses, c’est vrai je ne me sens pas dans un grand jour à moins que ce ne soit le chargement, je suis obligé de marcher assez rapidement, il me semble plus qu’a l’accoutumée. Malgré tout j’arrive au prix d’un effort somme tout à fait raisonnable à recoller au duo, nous voilà enfin tous les 3 réunis. Il reste encore 30 km, et je décide de mettre à contribution ma technique en descente pour m’évader, je veux ainsi prendre un peu d’avance vu ma piètre prestation en montée. Je suis ainsi le premier coureur à entrer dans le Village de Tarnac où le Journaliste de la Montagne me demande d’où je suis, c’est marrant. Qui dit village dit ravitaillement, seul Christophe prend le temps de se rafraichir et nous repartons tous les trois, nous longeons la Vienne jusqu’au rocher Ste Marguerite. L’ascension qui suit va voir la propulsion de Thierry dans les nuages, il court alors que je marche, je ne cherche pas à m’accrocher nous sommes tout juste à mi-parcours, je me porte maintenant à la hauteur de Christophe qui grimace, il n’a pas l’air au mieux, enfin je ne lui en dit rien. Nous échangeons quelques mots, il m’informe qu’il a couru Tulle Brive il y a 2 semaines, (plus tard, en regardant les résultats je constate qu’il avait pris la 7 ème place de cette classique remporté par Thierry Breuil et que l’autre Thierry lui avait prit la 5 ème place) et qu’il doit courir le Nivolet Revard dimanche prochain, sacré programme. Pour finir je finis par me retrouver tout seul et arrive au ravitaillement du bois de Cholet sur les hauteurs de la Combe avec déjà 6 min de retard sur Thierry, Ouille petit coup sur la tête. J’indique à Christophe qui arrive tout juste avant que je ne reparte que nous sommes au 27,8 km, il a l’air de souffrir. Je repars revigoré par le coca et les tucs, ce coup-ci nous traversons la Combe, je commence moi aussi à être un peu entamé, un départ un peu rapide c’est sûr mais j’ai voulu prendre le risque pour voir et prendre ainsi le bon wagon. Arrive maintenant le village de Bessette où je suis d’abord accueilli par 2 enfants, l’un à vélo et l’autre en courant, tels 2 messagers ils partent rameuter tout le village, un coureur arrive ! J’adore ces petits villages authentiques, le temps s’est ici arrêté, je poserai bien mes valise, mais v’là t’y pas que je m’étrangle avec mon coca à la vue de 2 coureurs se rapprochant de la table du ravitaillement, je ne les attendais pas et je ne les attends pas, je repars dare-dare, déjà 15 min que Thierry est passé, merde j’ai vraiment dû m’endormir en chemin, en fait, je le saurai plus tard mais ils s’agit je crois de Frédéric et de Didier déjà entrevus en début de course. Ils se sont perdus et vont attendre le passage des coureurs pour réintégrer leur place initiale, très bon état d’esprit dont ils font preuve, bravo. En tout cas n’en sachant rien à ce moment de la course je repars de plus belle, il faut que je résiste, la fin de course va se jouer au mental, tout le monde est entamé et il faut que je sois hors de portée de fusil. Cette fin de parcours est moins exigeante le difficile est derrière nous, mais il faut se forcer à courir dans les faux plats, il est tentant de marcher, nous longeons les étangs de la Voûte et du Condeau on m’indique encore 5 km puis le village de Condeau arrive et son dernier ravitaillement, ce n’est pas faux mais j’ai 41 km sur le GPS. Les tourbières me rappellent celles du début de parcours et je commence à me demander si je ne suis pas reparti faire une 2 ème boucle. Ouf, non je reconnais enfin la dernière tourbière qui était la première tout à l’heure et la succession de troncs d’arbres à escalader. Je sors de l’écrin de verdure et voilà Bugeat, j’aperçois le complexe sportif mille sources là-haut, encore un dernier petit effort, avec quelques crampes je passe enfin la ligne d’arrivée accompagné par quelques gouttes de pluie annonciatrices d’orages.
Thierry Mignon est déjà arrivé depuis presque 28 min, cela fait un peu plus de 1 min au km depuis qu’il m’a quitté, et me voilà en train de raconter la course au micro. Ce fut un très beau trail, bien sympa. Dites, à quand le TTLV (trail tour du lac de Vassierre).
Finalement ce sont 46,5 km qui seront parcourus pour 1850 m de D+.
Les 20 premiers :
1 MIGNON Thierry 04:26:03 twix creusois ; 2 BRESSON Guillaume 04:53:58 RUMBA ; 3 VIMONT Sylvain 05:01:49 Elan USSEL ;4 EYMARD Olivier 05:10:46 ; 5 BUCHON Damien 05:15:31 ; 6 DESPROGES Frederic 05:16:36 Bugeat athlétisme ; 7 LOYEN Didier 05:16:36 HERBAUGES AC ; 8 GRELAUD Bruno 05:23:21 Kikourou.net ; 9 FORDIN Christophe 05:23:26 TULLE AC ; 10 RONDEAU Herve 05:23:36 SAM GUERET ; 11 DOUCET Eric marie 05:25:51 ; 12 LACOTE Sylvain 05:26:01 CSA GUERET ; 13 BACONNET Gerard 05:26:46 ; 14 ROUCHIER Frédéric 05:48:51 ; 15 CUGGIA Bruno 05:52:26 Villenove AC ; 16 DUCROT Alexandre 05:54:21 ; 17 NEDELEC Fanny 05:56:16 – 1ère Femme ; 18 BERRET Gilles 05:56:51 ; 19 PORTE Jean claude 06:00:15 ASPTT BLOIS ; 20 BINOVSKI Christophe 06:04:31 Rambouillet sports.
Toutes les photos sont de Jacques Delhiere.
lundi 4 avril 2011
Trail du Josas 2011
lundi 21 mars 2011
Circuits des 25 bosses et Belvédère + petit tour d’appoint
mardi 8 mars 2011
Trail des 3 Châteaux au Creusot 5&6 mars 2011
mercredi 9 février 2011
Programme 2011
- 5 et 6 mars Trail des trois Châteaux au Creusot (71) 18 km le samedi avec 650 D+ et 34 km le dimanche avec 1000 m D+ - Ce sera une reprise en fanfare
- 3 avril Trail du Josas (78) 35 km avec 800 m D+
- 24 avril Bugeat Correze Raidlight Trail 45 km 1700 m D+
- 29 mai l'Annecime (maxi race du lac d'Annecy) à Annecy le Vieux (74) 78 km 4400 m de D+ The objectif !
- 16 Juillet Trail du Caroux à Mons la Trivalle (34) 28 km 2200 m de D+
- 28 août Le Cul d'enfer à Mondeville (91) 21,6 km avec 350 m D+ (manche du challenge des courses vertes de l'Essonne)
- 24 septembre l'impérial Trail de Fontainebleau (77) 65 km 1500 m D+
- 23 octobre trail des 7 Hameaux à Magny les Hameaux (78) 27 km 800 m D+
- 30 octobre Festival des Hospitaliers à Nant (12) 75 km 3500 m D+
Ce planning est bien sûr susceptible d'évoluer selon la motivation, la forme et les blessures, si tout se passe bien, mon rêve pour 2012 serait de participer à la 6666 occitane, un trail de 118 km pour 6666 m de D+. D'ailleurs, je n'en dévoile qu'une partie, mon programme doit m'amener jusqu'à fin avril 2012 pour accomplir ce rêve. Alors bonne saison à tous.
samedi 1 janvier 2011
Voeux 2011
Où vais-je courir, qu'elles seront les courses au programme ?
photos :http://www.photo-libre.fr/